dimanche 29 octobre 2017

Le bricolage pour les nuls : fabriquer une lampe de chevet

Ce week-end, il ne fait pas beau, alors pourquoi ne pas rester au chaud à la maison et faire un peu de bricolage ?

Hier, nous avons fait quelques emplettes avec Madame dans une enseigne bien connue de bricolage (qui commence par Leroy et qui finit par Merlin) et après avoir acheté les meubles de rangement que nous étions venu acheter, Madame a été prise d'une furieuse envie de lampe de chevet et m'a missionné pour lui en fabriquer une.

C'est donc ce que j'ai fait, c'est rapide et facile à fabriquer (la preuve, j'ai réussi), après le coût de revient dépendra des matériaux utilisés. Ici, on a opté pour du chêne massif pour le bois, donc bien entendu c'est plus cher que du pin par exemple. Le tout a du nous revenir à un peu plus de 50€. Si vous utilisez des matériaux "basiques", du style du pin, une douille, un cordon électrique et une ampoule basique, vous vous en tirerez pour à peine 20€. Vous pouvez trouver des lampes moins chères dans le commerce, mais vous n'aurez pas le plaisir de l'avoir fabriquée, et l'avantage de la faire vous-même, c'est qu'elle sera unique et à votre goût puisque vous pouvez quasiment tout personnaliser.

En ce qui nous concerne, dans cet exemple, Madame Martinplage a choisi un cadre en chêne massif, un cordon électrique noir de 2 m avec interrupteur et prise (attention à choisir un cordon suffisamment long pour votre lampe, selon l'endroit où vous pensez la mettre), une douille E27 aspect titane, un raccord métallique mâle, et une ampoule LED design culot E27 (puissance lumineuse 300 lumen).
Vous aurez aussi besoin pour fabriquer cette lampe : d'un crayon, d'une règle, d'une équerre, d'une perceuse, de 2 petites vis et d'un tournevis cruciforme,éventuellement d'un poinçon, et peut-être d'un morceau de papier de verre.

Voyons ce que ça donne pas à pas :

Munissez-vous du cadre en bois (ou de tout autre support de votre choix). 


Repérez à l'aide du crayon à papier, de la règle et de l'équerre l'endroit où vous souhaitez faire passer le cordon et qu'il faudra donc percer. Pour ma part, j'ai placé le repère au milieu d'un des panneaux du cadre.



 A l'aide du poinçon, percez un pré-trou à l'endroit du repère.


Avec la perceuse et le forêt adéquat (même diamètre que l'intérieur du filetage du raccord métallique et que le cordon), faites le trou au même endroit. 


Si besoin, à l'aide du papier de verre, poncez légèrement les bords afin d'enlever les petites échardes qui pourraient rester.



Placez le raccord métallique à l'intérieur du cadre de façon à ce que le trou coïncide avec l'intérieur du filetage. Faites un pré-trou de part et d'autre, à l'endroit où se trouveront les vis. 


Fixez  le raccord métallique à l'aide de 2 petites vis (adaptez le diamètre et la longueur des vis aux dimensions des trous de votre raccord et à l'épaisseur de votre support).


Faites passer l'extrémité du cordon électrique munie des 2 fils à l'intérieur du trou, de manière à le faire suffisamment dépasser pour avoir du jeu et pouvoir facilement fixer les fils dans la douille (Mieux vaut avoir un peu trop de fil quitte à le tirer en arrière par la suite).


Munissez-vous de la douille et démontez les parties inutiles (ici, le filetage et son cache).


Une fois démontée, elle devrait ressembler à ça :


Fixez la partie extérieure de la douille en la vissant sur le raccord métallique.


Faites ensuite passer les fils dans la partie inférieure de la douille (en plastique).


Fixez chaque fil dans leur emplacement respectif dans la douille plastique, en sachant que le neutre c'est le fil bleu, la phase c'est le fil rouge. 


Emboîtez à nouveau la partie basse et la partie haute de la douille en plastique.


Munissez-vous de votre ampoule et vissez-la dans la douille, puis faites glisser celle-ci jusqu'au fond de la partie extérieure de la douille.


Il ne vous reste plus qu'à trouver l'endroit idéal pour poser votre lampe et à la brancher.


Appuyez sur l'interrupteur : Et la lumière fut !!!


NB : Pour une lampe de chevet, d'après moi, 300 lumen c'est un maximum, ça éclaire vraiment pas mal ! Et l'idée d'une lampe de chevet, c'est quand même pas d'avoir une lumière type interrogatoire de police dans un film de série B dans la tronche, donc attention quand vous choisissez votre ampoule...

Alors, qu'en pensez-vous ? Pas très compliqué, vous en conviendrez ?

jeudi 12 octobre 2017

J'ai lu pour vous : Un acrobate au bord de l'oeil, de Marie Jousse !

Comme expliqué dans l'article précédent (décidément, je m'auto-cite beaucoup aujourd'hui !), j'ai testé pour vous les services de la jeune maison d'édition Yakabooks, et j'en ai été très satisfait, au point de vouloir en faire la pub sur mon blog, ce que je ne prends pas à la légère.
Cela est en grande partie du à la qualité du premier livre que j'ai lu, que j'ai choisi en premier parce qu'il avait été écrit par une mayennaise, Marie Jousse, par ailleurs galeriste à Laval.

Voici donc ma critique de l'ouvrage Un acrobate au bord de l’œil.

Pour son premier roman, Marie JOUSSE nous entraîne dans une (sur)prenante histoire de famille, avec une écriture pleine de justesse et de sensibilité, sans jamais verser dans la "sensiblerie". Sans doute son passé de biographe familial y est-il pour quelque chose...
Dans un style accessible, au fil de chapitres très courts, la narratrice dresse un parallèle entre sa vie de jeune maman trentenaire et son enfance en tant que petite dernière d'une fratrie.
"Un acrobate au bord de l’œil" - on notera au passage toute la poésie du titre - est un roman qui peut parler à chacun, car à travers l'histoire singulière de Claire, c'est de l'universalité des relations familiales dont il est question.
https://www.yakabooks.com/boutique/#ae11


Avis : je recommande !
Note : 9/10

J'ai testé pour vous : les éditions Yakabooks !

Comme je vous le disais dans l'article précédent, je viens de m'inscrire à un service d'affiliation du blog pour certaines marques de biens et services que j'aurai personnellement testé(*).

C'est en fait le test d'un de ces services qui a été à l’origine de tout cela. En effet, il y a quelques semaines, j'ai découvert par hasard sur internet (enfin, un hasard influencé par mes recherches Google, on s'est compris...) en cherchant des infos sur les maisons d'édition, Yakabooks, une petite maison d'édition qui venait de se lancer, et qui avait pour ambition de publier des auteurs parfois inconnus, à un tirage de 15000 exemplaires, des livres qui ont la particularité de tous être proposés au tarif de 2€ !!! Leur devise est "Le livre pour tous"


Étant tout de même assez méfiant puisque des livres neufs sont en général plutôt proposés aux alentours de 8-10€ pour des poche et 20-25€ pour les autres, je me suis interrogé sur la qualité des publications proposées par cette maison d'édition, d'autant plus qu'ils nous promettent des livres imprimés en France qui plus est ! Pour en avoir le cœur net, j'ai donc sélectionné plusieurs ouvrages sur leur site, que j'ai commandés et reçus assez rapidement.

Pour être précis, j'ai commandé 4 livres, à 2 € l'unité, ce qui m'est revenu à 12,90€ en tout avec les frais d'envoi (soit 3,23€/livre). Vous conviendrez que l'investissement était minime.
Tout d'abord, sur la qualité des ouvrages en eux-même, rien à redire, les livres sont bien présentés et rien ne les distinguent d'autres livres en édition de poche, si ce n'est le nom de la maison d'édition, "Yakabooks".

Quant à la qualité littéraire, même si cela est affaire de goût évidemment, j'ai terminé la lecture d'un des 4 livres (Un acrobate au bord de l’œil de Marie Jousse) et entamé la lecture d'un autre (Il était une fois la fée Chabada de Lucie Brasseur), et je vous dirais plus précisément ce que j'en ai pensé dans un article consacré à chacun d'entre eux, mais pour l'instant, je suis très agréablement surpris et franchement, je trouve que ces 2 livres (même si je n'ai pas terminé le deuxième) n'ont pas à rougir de la comparaison avec d'autres livres publiés dans des maisons d'édition plus traditionnelles.

Je vous précise que pour le moment, cette maison d'édition en étant à ses premiers pas, elle ne dispose pas d'un catalogue équivalent en termes de quantité à Gallimard ou Flammarion, mais la qualité semble être au rendez-vous. Par ailleurs, Yakabooks propose uniquement des livres classés comme "romans" ou "littérature pour enfants". Peut-être que d'autres styles littéraires viendront bientôt enrichir la collection, mais il faut bien commencer quelque part...

Tout ceci étant dit, je vous encourage donc vivement à aller faire un tour sur leur site pour découvrir le concept, et qui sait, peut-être trouverez-vous le bonheur en tant que lecteur, et ce à petit prix... Pour ma part, j'ai hâte de savoir ce que me réserve la suite du livre que je suis en train de lire, et je suis impatient de découvrir les 2 autres que j'ai commandés (9 mois ou presque de Laurence Marino et Lune ou l'autre de Frédérique Hoy). A très vite pour mes commentaires de ces ouvrages !



(*) Comme je l'expliquais, j'ai testé ce service en tant que consommateur lambda, et ce n'est qu'après avoir été satisfait du service que j'ai postulé à un partenariat avec la maison d'édition, ce qui explique la pub pour Yakabboks sur mon blog. Je n'aurais pas été satisfait, j'en aurais parlé tout de même en expliquant pourquoi, mais je n'aurais évidemment pas proposé de liens vers cette maison d'édition si je l'avais jugé mauvaise.

J'ai testé pour vous : la pub sur mon blog !

Aujourd’hui j’ai décidé de vous parler un peu des dessous de mon blog, vous pourrez ainsi mettre pour une fois un pied dans les coulisses...
À partir d’un moment, au-delà d’un certain nombre d’articles, de lecteurs, etc... on se pose la question de son audience, de la façon de la fidéliser et de la développer. Certains diront qu’ils n’écrivent que pour eux-mêmes mais honnêtement je n’y crois pas trop : pourquoi dans ce cas publier tout ça sur internet ? Écrivez dans un journal intime, dans ce cas...
Non, je pense que chaque personne qui tient un blog estime avoir quelque chose à dire et (à tort ou à raison) que ce quelque chose mérite d’être partagé. Dès lors, on ne peut que vouloir atteindre une audience la plus large possible, et éventuellement « rentabiliser » le temps et l’investissement consacrés à l’élaboration de ce blog.

Pour fidéliser son audience, et pourquoi pas la développer, il faut bien entendu miser sur 2 facteurs : la qualité des publications qui doit être constante, sous peine que l’audience ne s’érode (j’y travaille); et la quantité ou plutôt la fréquence de publication qui doit être relativement élevée et régulière (c’est ce que j’ai le plus de mal à faire).
Lorsqu’on veut valoriser son « travail », et que l’on a comme moi opté pour une plate-forme de blog gratuite, la seule solution - hormis en cas de publication et de commercialisation de ses écrits, ce que je tente de faire par ailleurs - est de recourir à la publicité. Sale mot ! Pas bien ! Sujet tabou !
J’avoue que je suis moi-même assez réticent sur le sujet, et je suis prompt à faire rimer coupure publicitaire et libération urinaire, en tout cas à la télé. J’ai encore le souvenir de l’ancien patron de TF1 Patrick Le Lay et le « temps de cerveau disponible » du téléspectateur regardant des programmes permettant audit patron de vendre le plus cher possible son espace publicitaire et ainsi vendre le plus possible de Coca-Cola par exemple.

Cette vision du téléspectateur/auditeur/lecteur comme un simple consommateur me débecte et je refuse de me laisser manipuler ainsi sans rien dire.
Cependant, la publicité sur Internet est bien différente que celle à la télé ou à la radio. Elle est beaucoup plus intrusive, et beaucoup plus fréquente. En effet, internet étant l’empire de la gratuité érigée quasiment en droit absolu, la contrepartie dans une société libérale telle que la nôtre, est nécessairement la publicité, sous peine de ne pas pouvoir valoriser votre contenu.
Une fois que l’on a dit cela, on n’a pas tout dit ! Ce n’est pas parce qu’on choisit de recourir à la publicité que l’on est obligé de faire n’importe quoi et de céder aux sirènes du fric facile. Ne soyons pas les Patrick Le Lay du XXIème siècle !

Pour ma part, je suis trop attaché à ma liberté de penser et de consommer pour imposer à mes lecteurs des publicités pour de la lessive, du soda, des aides auditives ou des bagnoles... Je n’apprécie pas cela en tant que lecteur, donc je ne veux pas l’imposer en tant que blogueur.
De ce fait, j’ai décidé de ne sélectionner dans les annonces que celles qui me paraissent en accord avec ma « ligne éditoriale » et mes valeurs, d’une part, et en tentant de limiter leur nombre d’autre part.

C’est pourquoi je me suis inscrit à un système d’affiliation (Affilae) qui m’attribue un pourcentage sur les ventes en cas de clic sur une pub de mon blog, sur un nombre limité et trié sur le volet de marques de biens et services. Il s’agit uniquement de marques que j’ai personnellement pu tester et dont je suis satisfait. C’est ma ligne de conduite, et je vais essayer de m’y tenir à l’avenir.



Vous n’êtes pas obligés de me croire, mais je vous assure que c’est bien le cas, et j’ai d’ailleurs décidé de consacrer une rubrique particulière de mon blog à ces biens et services que j’ai pu tester. Cette rubrique Conso s’appelle « J’ai testé pour vous... » et je l’inaugure par le présent article.

Bon, l’expérience est un peu récente pour tirer des conclusions définitives de ce service, mais ce que je peux vous dire c’est que le service fonctionne bel et bien, j’ai pu relativement facilement m’inscrire (penser à avoir un RIB avec soi) et postuler à 2 partenariats. Après, il me revient le soin de trouver le meilleur moyen de concilier le confort de lecture des visiteurs de mon blog et l’efficacité des publicités afin qu’elles me rapportent le maximum de commissions (même si je vous rassure, je ne compte pas faire fortune grâce à cela...)
Seul l’avenir me dira à quel point ce service est perçu comme plus ou moins gênant pour les lecteurs, et plus ou moins rentable pour moi...

dimanche 1 octobre 2017

Vivement le vendredi 13 ! (mais les autres jours c'est bien aussi !)

Mise À Jour le 4 octobre (en gras les éléments nouveaux)

Après un bon mois où le blog vous a sans doute paru comme étant en sommeil (et moi avec !), je reprends du service, et en réalité, je n'étais nullement en train d'hiberner avant l'heure mais plutôt dans un processus de création tout azimut qui m'a conduit à vous délaisser, chers lecteurs !

Vous voudrez bien m'en excuser j'espère, et je vais tenter de me rattraper en publiant plus régulièrement : j'ai déjà des ébauches d'articles en stock, et j'ai même une surprise pour me faire pardonner mon absence...

Ainsi, après une longue hésitation, et après qu'on m'ait dit du bien de mes écrits, certains ayant même jugé que ceux-ci étaient dignes d'être publiés, j'ai effectués des recherches en ce domaine et j'ai décidé de me lancer dans l'aventure de l'auto-édition via la plate-forme Amazon Kindle.

Je suis donc heureux de vous présenter mon premier "bébé" littéraire qui s'intitule Des mots sur mes maux et qui est d'ores et déjà disponible en précommande au format livre électronique au prix riquiqui de 2,99€. Le lien pour commander est ici. La sortie officielle du recueil est prévue pour le vendredi 13 octobre prochain (espérons que cette date me portera bonheur !)

Le livre est également disponible depuis aujourd'hui au format broché pour les inconditionnels du papier tel que moi. Comme vous peut-être, je suis de la "vieille école" et j'apprécie toujours l'objet livre, le plaisir de tourner les pages, de sentir l'odeur du papier et de l'encre, de choisir un marque-page, etc.

Le livre en version papier

Mais le livre électronique existe et il ne faut vivre avec son temps et ne pas se voiler la face : certaines personnes ne sont pas prêtes à mettre plus de 10€ dans un livre. Évidemment, en comptant le coût de d’édition papier (un peu plus de 6,50€, la marge de 40% prise par Amazon, et la TVA à 5,5%, et comme j'ai souhaité proposer le livre à un prix raisonnable pour les lecteurs, sur les 12,55€ que vous coûte l'acquisition de cet ouvrage, il ne reste que 0,60€ qui me revient sur chaque exemplaire. Vous conviendrez que ce n'est pas énorme, c'est le moins qu'on puisse dire ! Mais c'est le prix à payer pour qu'un maximum de gens puissent accéder à la lecture de cet ouvrage. 
Si vous souhaitez acheter le recueil au format papier, cliquez ici.
Au passage, on peut déjà noter que la vente d'un e-book me rapporte plus que celui d'un livre papier. Il est vrai qu'il y a certains coûts incompressibles pour un livre papier qui n'existent pas pour un livre électronique (coûts d'impression, coûts de distribution...)

Par ailleurs, pour être complètement transparent avec vous, je tenais à vous informer de plusieurs choses :

- tout d'abord, j'ai choisi pour ce recueil de textes et de réflexions autour du slam de prendre le pseudonyme d'Andrea LITEN-MARX qui est l'anagramme de ma véritable identité. On m'a posé la question du pourquoi de la publication sous pseudonyme. C'est une question légitime d'autant que je me la suis posée moi-même. Cela n'est pas du snobisme d'écrivain, en tout cas je ne le conçois pas comme cela (ou alors un tout petit peu, chaque écrivain étant foncièrement un peu vaniteux), mais cela poursuit plusieurs objectifs : celui évident de se faire plaisir en adoptant un "nom de plume", et celui de voir quelles pourraient être les conséquences sur les ventes pour un auteur tout à fait inconnu. Pour ceux qui me connaissent "IRL" comme disent les d'jeuns et les pros du marketing ("In Real Life", dans la vraie vie quoi...), ça ne change pas grand chose, mais si je veux toucher un lectorat autre que celui de mes amis et connaissances, cela pourrait avoir une importance.

- ensuite, sur l'aspect ventes justement, le prix de 2,99€ n'a pas été choisi au hasard, certains le trouveront trop bas, d'autres trop élevé. Cependant, dans le système Amazon Kindle, il s'agit du prix conseillé, en-deçà duquel on ne touche plus que 35% du produit des ventes. A partir de ce prix, on touche 70% du produit des ventes, soit 1,60€ qui me reviendront sur chaque vente d'un e-book à 2,99€. Tout ceci en sachant que vous pouvez très bien mettre votre livre beaucoup plus cher mais que, vu la multitude de titres proposés aux lecteurs, un prix plus élevé risque de les rebuter. J'ai donc choisi comme prix de lancement, pour ceux qui commanderont en avant-première avant le lancement officiel le vendredi 13 octobre, le prix de 2,99€, prix qui augmentera ensuite légèrement à la date de sa sortie.

- enfin, concernant le contenu de ce livre, si vous êtes lecteurs assidus de mon blog, vous n'y trouverez pas beaucoup de choses inédites mais plutôt un recueil de ce que j'ai fait en matière de slam, la genèse de ces textes et quelques réflexions sur le slam ou l'écriture plus généralement, le tout illustré de quelques-unes de mes créations graphiques (ainsi que 2 œuvres de mes talentueux amis, Amel alias Mam'zelle Palette et Manu, photographe dont vous retrouverez quelques-uns des clichés sur sa page "Complément d'instants".) Donc, pour vous, lecteurs fidèles, il s'agira moins de découverte que de soutien au jeune auteur que je suis, et je compte sur vous pour faire de ce lancement une réussite, en faisant la promotion de ce recueil autour de vous. Car la réussite ou l'échec des livres électroniques sur Amazon semble découler des ventes lors des tous premiers jours, qui permettent de gagner en visibilité, sinon on est rapidement noyé dans la masse...

Vous l'aurez sans doute compris, cette démarche pour moi a avant tout pour but de me faire plaisir en publiant ma prose, mais elle a également pour ambition de lancer un ballon d'essai dans le monde impitoyable de l'édition et plus particulièrement de l'auto-édition. Voir si cela intéresse les gens, si cela fonctionne en termes de ventes, si ça "rapporte" et combien, si cela est plus ou moins intéressant qu'un mode d'édition plus classique... Savoir si ça vaut le coup de persévérer dans cette voie ou si elle est sans issue. Je compte donc sur vous, mes chers lecteurs, pour me faire l'amitié de commander dès maintenant ce premier livre si vous le souhaitez et surtout de partager la bonne nouvelle autour de vous (j'ai l'impression de me prendre pour Jésus s'adressant à ses apôtres en disant cela, c'est assez étrange comme sensation...) et ainsi propulser mes mots au-delà du cercle habituel de mes connaissances ! Merci d'avance...

Je vous saurai gré également de tous les commentaires constructifs et sans langue de bois que vous pourrez faire sur cet ouvrage qui a sans doute des imperfections, j'en suis conscient, mais un œil extérieur est toujours bienvenu pour permettre d'avoir un regard différent et ainsi s'améliorer par la suite... Cela est tout aussi important pour moi que le fait d'acheter cet ouvrage. Merci d'avance !



Dernière précision puisqu'on me l'a demandé également  : si vous optez pour le format électronique, Amazon ne pousse pas le vice jusqu'à vous obliger à posséder une liseuse Kindle ou autre pour lire l'e-book. Il vous suffit d'avoir un ordinateur, une tablette ou un smartphone Apple ou Android, et de télécharger gratuitement l'application Amazon Kindle, de créer un compte Amazon ou de vous y connecter, et le tour est joué, vous pourrez lire sur votre support préféré...



Le livre en version électronique

Et en guise d'amuse-bouche, je vous mets le lien vers un de mes courts textes écrits cet été en version musicale et remixée...

Alex Tinmar alias Martinplage / Petit Corps Patraque / Andrea LITEN-MARX

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